Broken Mirror Games annonce I Hate This Place. C’est dans le cadre d’un nouveau label d’horreur sous la direction de Bloober Team que le titre sera lancé le 4 novembre 2025 sur PC, PlayStation 5, Xbox Series X/S et Nintendo Switch.
C’est à l’occasion de la Gamescom 2025 que nous avons été invités par le studio pour découvrir la démo. Il est l’heure de plonger dans l’horreur avec notre avis.
Tiré de la série de comics plébiscitée créée par Kyle Starks et Artyom Topilin, I Hate This Place flatte la rétine avec ses couleurs assumées et son style BD rétro qui fleure bon les années 80. Un mélange unique d’horreur et d’humour noir avec pile la bonne dose de grand-guignolesque et de gore, à la fois malaisant par son ambiance et charmant par son style.
Le titre est un survival-horror en vue isométrique avec un système d’artisanat. Poussé, dans un lieu maudit peuplé de cauchemars indicibles et de créatures terrifiantes tapies dans les ténèbres. Pour vous en tirer, vous devrez trouver des ressources, construire, faire preuve de discrétion et vous battre.
Et si, sans le réaliser, vous mettiez les pieds dans l’un des lieux les plus dangereux qui soient ?
La démo a commencé une fois que nous étions entrés dans le bunker souterrain. Dès les premiers instants, l’atmosphère du jeu se fait ressentir, notamment lorsque vous tombez sur votre tout premier ennemi et que vous l’éliminez.
Ce qui frappe immédiatement dans I Hate This Place, c’est la puissance de l’atmosphère que le jeu réussit à instaurer. Son identité visuelle est unique : un savant mélange entre l’esthétique des années 80 et le style bande dessinée . La palette de couleurs est en roue libre . Les créatures sont monstrueuses, et l’ensemble dégage à la fois un style marqué et une sensation d’inconfort.
À cela s’ajoute une conception sonore au petit oignon. Du silence étouffant lorsque vous vous glissez entre les ennemis aux bruits stridents qui retentissent dès qu’une menace vous repère dans l’ombre. C’est vraiment un jeu qu’il faut faire avec un casque afin d’être immergé dans l’univers à 100 %. Dans le jeu, il faut rester vigilant face à votre environnement : marcher sur des éclats de verre ou patauger dans l’eau risque d’attirer les ennemis à proximité
Survivre :
Cela dit, certains d’entre eux sont aveugles et se fient uniquement aux sons, ce qui peut jouer en votre faveur. Vous pouvez d’ailleurs utiliser cette mécanique à votre avantage. En ramassant des objets pour les lancer et détourner l’attention, afin de vous frayer un chemin jusqu’à votre objectif. Ce qui nous rappelle certaines créatures de The Last of Us.
Le premier ennemi que nous avons rencontré était un humain infesté avec une sorte d’excroissance sur la tête. Même si c’étaient les ennemis les plus courants que nous rencontrons pendant notre découverte, le jeu nous réservera pas mal de surprises dans la version finale.
Le bunker offrait quatre niveaux différents pour explorer et tuer les ennemis. Le jeu a une histoire, et la démo a offert un petit aperçu de celle-ci. Nous avons sauté dans le bunker pour découvrir qu’un médecin effectuait des expériences sur des humains. Pendant notre exploration, il est possible de collecter des petits objets sur l’histoire pour nous donner un petit aperçu des expériences ratées et des abominations qui se sont formées en conséquence.
Bien que la version que nous avons essayée à la Gamescom ne présentait qu’un aperçu du jeu, il était évident que le titre mettait l’accent sur les mécaniques de survie traditionnelles. Vous serez régulièrement amené à collecter des ressources pour fabriquer munitions et équipements essentiels, mais pas seulement. Un bon paquet de chip’s et ça repart.
Pour conclure:
Même si une démo ne représente pas la qualité finale d’un jeu, le titre est vraiment prometteur. Broken Mirror Games nous a proposé un petit avant-gout des différentes possibilités que nous réserve cette aventure. Reste à voir comment se passe le jeu dans sa globalité, réponse le 7 novembre !
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